Le bilan non livresque du mois #36

Le visionnage du mois

Toujours dans l’optique de rattraper mon inculture cinématographique, ce mois-ci, j’ai regardé le célèbre film de Spielberg, La ligne verte. Allez savoir pourquoi, j’avais toujours refusé de voir ce film auparavant car j’étais persuadée qu’il s’agissait d’un film d’horreur ou d’un thriller, probablement à cause de l’affiche sombre à la lumière verte, du fait que le roman dont il est adapté a été écrit par Stephen King ou que l’intrigue se déroule dans un pénitencier. En réalité, rien de tout ça ! Le film porte surtout des réflexions sociales et humanistes. Il nous place dans les quartiers d’une prison des années 30 qui accueille les condamnés à mort en attendant leur exécution, dont la routine va être perturbée par l’arrivée d’un colosse accusé d’un crime horrible et qui a pourtant l’air d’un homme un peu simplet et inoffensif. La performance de Tom Hanks, aka mon acteur préféré, est comme d’habitude incroyable, comme celle de Michael Clarke Duncan, interprétant John Coffey. L’histoire, mêlant du suspens, de l’émotion et une pointe de fantastique, se révèle bouleversante, et les personnages marquants.

Le bilan non livresque du mois #35

On poursuit sur notre bonne lancée avec un bilan non livresque sorti le 1^er du mois !

Le visionnage du mois

Ce mois-ci, j’ai regardé la série The gentlemen, une nouveauté Netflix. Et quelle bonne surprise ! Loin de celles qui se suivent et se ressemblent, Guy Ritchie signe ici une série rythmée, totalement barrée et extrêmement drôle. Le pitch, déjà, est improbable : dans une famille aristocratique anglaise, à la mort du patriarche, son fils cadet, Edward, hérite du domaine et ne tarde pas à découvrir que son père avait passé un accord avec des trafiquants…qui cultivent du cannabis sur la propriété. A partir de là, tout part rapidement en n’importe quoi. Plongé dans un monde de gangsters, Edward est entrainé bien plus loin qu’il ne le pensait. Quant à Freddie, l’aîné, écarté de l’héritage en raison de son irresponsabilité, il est tout bonnement irrattrapable au vu de son incroyable talent pour entrainer toute sa famille dans des galères sans nom…pour le plus grand plaisir du spectateur, bien sûr !

Le bilan non livresque du mois #34

Ces derniers temps, je n’ai pas beaucoup de chroniques à vous partager, à la fois parce que j’ai mis du temps à achever mes lectures et parce qu’elles ne m’ont pas marquée plus que ça. Et pour celles que j’ai appréciées, il s’agissait de tomes d’une trilogie, or j’ai pour habitude de ne chroniquer que les premiers tomes.

Tout ça pour dire que j’ai décidé d’en profiter pour vous sortir le bilan du mois en temps et en heure pour une fois, même si j’ai publié le précédent il n’y a pas si longtemps !

Le visionnage du mois

Ce mois-ci, j’ai regardé Sauver et périr, un film qui m’a bouleversé (pour le dire plus clairement, j’ai pleuré tout le long). Si vous vous attendez à admirer des pompiers BG, vous serez peut-être servis dans les premières minutes du film, qui mettent à l’honneur leur engagement, mais pas au-delà. Il s’agit avant tout d’une histoire de reconstruction, qui retrace le parcours d’un homme gravement brûlé. Les mois d’hospitalisation, les soins, la lente convalescence et le combat pour retrouver ses capacités y sont retranscrits avec réalisme. Au-delà de l’aspect médical, on voit les proches éprouvés et désemparés et la souffrance d’un homme qui perd son visage, son corps de sportif et son avenir et doit retrouver une raison de vivre. Pierre Niney signe ici une des meilleures performances de sa carrière. Un hommage poignant à ceux qui risquent leur vie mais aussi, au-delà des sapeurs-pompiers, un film sans fard qui nous place dans la peau des victimes d’accidents graves qui doivent réapprendre à vivre.

Le bilan non livresque du mois #33

Le visionnage du mois

Ce mois-ci, j’ai regardé Hors normes, un film d’Olivier Nakache et Eric Toledano, dédié aux associations s’occupant de personnes autistes. Les réalisateurs nous plongent au cœur du travail mené par les éducateurs, entre les enfants et adolescents autistes sévères que les structures médicales refusent et qu’ils essayent d’accueillir de leur mieux, les familles désemparées et les jeunes de quartiers qu’ils forment au métier d’éducateur. C’est une réalité difficile que l’on découvre et qui interroge à la fois la place du handicap dans notre société, notamment la question de l’inclusion scolaire et professionnelle, et la prise en charge de l’autisme, à la frontière entre le médical et le social, qui laisse malheureusement un certain nombre de personnes sur le carreau. Le film n’est pas tendre avec l’administration, représentée ici par des inspecteurs de l’IGAS qui pointent l’absence d’autorisation administrative et l’embauche de jeunes éducateurs non diplômés et se heurtent à la réalité du terrain. L’interprétation de Vincent Cassel et Reda Kateb rend justice à l’engagement des travailleurs associatifs, en particulier aux fondateurs des associations Le Silence des Justes et Le Relais Île-de-France qui ont inspiré le film.

Le bilan non livresque du mois #32

Faute de temps (et d’inspiration, j’avoue), il n’y a pas eu de bilan non livresque du mois de novembre. En revanche, je n’allais pas laisser passer celui du mois de décembre (même tardif) !

Le visionnage du mois

J’aurais pu mentionner les films de Noël que j’ai visionnés en décembre, mais comme je leur ai déjà dédié un article, je préfère vous parler d’une série : Pax Massilia. Pour être honnête, je n’étais pas très emballée au départ (une histoire de flics à Marseille, bof), puis je me suis laissée convaincre…et j’ai étonnement bien accroché ! Le rythme est parfaitement maîtrisé et le suspens est au rendez-vous dans l’affrontement entre deux barons de la drogue, rendant la série plutôt addictive. On s’attache à ces policiers « hors cadre » qui usent de moyens pas toujours conventionnels pour lutter contre le trafic qui gangrène leur ville.

Le bilan non livresque du mois #31

Alors que je n’ai qu’une envie, voir finir ce mois de novembre pluvieux pour entrer dans la période de Noël, je viens vous présenter le bilan du mois d’octobre !

Le visionnage du mois

Au mois d’octobre, j’ai regardé le film de Nicolas Bedos, La belle époque, un petit bijou qui nous emmène au cœur du cinéma. Un sexagénaire blasé, auteur de BD en manque d’inspiration, dépassé par les nouvelles technologies et dont le mariage bat de l’aile, se voit proposer de revivre l’époque de son choix grâce à une reconstitution historique à la mise en scène parfaite. Il choisit de se transporter en 1974, le jour de la rencontre avec sa femme.

La belle époque est un film original sur la magie du cinéma (on a comme l’impression de se retrouver dans l’envers du décor, c’est superbe et ludique), mais aussi sur le temps qui passe et le couple. Le protagoniste se perd dans la nostalgie de sa jeunesse et du « c’était mieux avant », quitte à ne plus vouloir revenir dans la réalité, mais aussi dans celle de la passion des débuts, comme pour tenter de se rappeler combien ils se sont aimés avec sa femme. Les acteurs sont parfaits dans leur rôle (mention spéciale à Daniel Auteuil et Guillaume Canet), l’ensemble est poétique et touchant.

Le bilan non livresque du mois #30

Je devais vous sortir ce bilan la semaine dernière et puis, prise par le temps, il est resté dans mes brouillons. Mieux vaut tard que jamais, voici le bilan non livresque du mois de septembre !

Le visionnage du mois

Le visionnage qui m’a le plus marquée ce mois-ci est Painkiller, une mini-série de Netflix inspirée de faits réels sur la crise des opioïdes aux Etats-Unis, et plus particulièrement le scandale de l’oxycontin. On y découvre des faits assez glaçants sur les agissements d’une firme pharmaceutique qui ont conduit à provoquer la mort par overdose de centaines de milliers de personnes, rendues dépendantes à ces produits.

Le bilan non livresque du mois #29

Un bilan du mois sorti pile à l’heure, on démarre l’année scolaire sur de bonnes bases !

Le visionnage du mois

J’aurais pu mentionner Oppenheimer, qui mérite à mon avis tout le bien qu’on en dit, mais comme vous en avez surement entendu parler tout l’été, j’ai choisi un film plus confidentiel, sorti en 2023, que j’ai découvert dans l’avion pendant mes vacances. Je ne m’attendais pas à être autant touchée par ce film (j’ai pleuré tout le long haha) ! Tom Hanks, qui est un de mes acteurs préférés, est parfait dans le rôle principal. Il y incarne un veuf grincheux, qui passe ses journées à faire la police dans son quartier et à se disputer avec ses voisins. Jusqu’à ce que l’arrivée d’une famille d’origine mexicaine le bouscule juste ce qu’il faut et ramène de la joie dans son quotidien. Une belle histoire, drôle et émouvante, qui nous parle du deuil et de l’importance du lien social.

Le bilan non livresque du mois #28

Le mois dernier a vraiment été un acte manqué puisque j’ai tout simplement oublié le bilan mensuel. Je m’en suis aperçue alors que l’on avait largement dépassé la fin juin ! Nous passerons donc directement au bilan du mois de juillet !

Le visionnage du mois

Ce mois-ci, je suis allée voir le dernier Indiana Jones au cinéma. Mais même si j’ai trouvé le film sympa, avec un bon rythme et de l’humour, j’avais plutôt envie de vous parler d’une comédie romantique parfaite pour l’été, disponible sur Netflix : Une vie ou l’autre. Le pitch m’a plu : fraîchement diplômée en graphisme, prête à s’envoler pour Los Angeles avec sa meilleure amie, Natalie fait un test de grossesse. Elle voit alors sa vie se scinder en deux réalités parallèles et découvre ce que la vie lui réserve en cas de test positif ou négatif. La construction de l’intrigue est originale et j’ai aimé les messages passés sur les choix de vie et l’idée que finalement on est à sa place peu importe les chemins que l’on prend. En prime, les personnages sont cute ! Bref, on fait le plein de good vibes avec ce film !

Le bilan non livresque du mois #27

Le temps de rentrer de vacances et de me remettre dans le bain, et je vous sors le bilan non livresque du mois de mai !

Le visionnage du mois

Ce mois-ci, je suis allée voir le troisième opus des Gardiens de la galaxie, une trilogie qui sait trouver le parfait équilibre entre humour et action !