Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Et si Marcus pouvait à la fois innocenter son ami et sauver sa carrière d’écrivain ?
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[[Si vous suivez un peu, vous vous demanderez sûrement pourquoi je chronique ce roman maintenant, alors qu’il faisait partie de mes lectures du mois de mai. A vrai dire, je me pose la même question. A l’origine, j’ai du le livre dans le cadre d’une lecture commune avec Délires et des livres. De manière assez surprenante, j’ai dévoré cet énorme pavé en seulement quatre jours (le fait que je sois tombée malade à ce moment-là a aussi aidé puisque je n’étais capable de rien à part dormir et lire). J’ai commencé un brouillon de la chronique en attendant que Délires et des livres finisse sa lecture pour que la publication de nos chroniques soient à peu près synchro. Et pour finir….j’ai totalement laissé de côté la chronique entamée, prise d’une immense flemme de la terminer, d’autant que les lectures se sont succédées et me prenaient pas mal de temps à chroniquer. Mais il n’est jamais trop tard ! La preuve.]]