Paris, 1934. Devant Notre-Dame une poursuite s’engage au milieu de la foule. Le jeune Vango doit fuir. Fuir la police qui l’accuse, fuir les forces mystérieuses qui le traquent. Vango ne sait pas qui il est. Son passé cache de lourds secrets. Des îles siciliennes aux brouillards de l’Ecosse, tandis qu’enfle le bruit de la guerre, Vango cherche sa vérité.
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Si vous ne connaissez pas encore Timothée de Fombelle, je vous arrête tout de suite : faites un détour par Tobie Lolness, et découvrez un des plus grands auteurs de littérature jeunesse français. Et comme vous aurez adoré, vous reviendrez vers moi en en redemandant, et c’est là que je vous conseillerai Vango. Parce qu’encore une fois, Timothée de Fombelle a frappé fort (et juste) avec cette grande et belle histoire.
Vango n’est pas une parution récente. La première édition date de 2010. Et d’ailleurs, à l’époque, j’avais emprunté le roman à la bibliothèque, mais je n’avais pas lu le second tome. C’est finalement sans aucun souvenir de l’intrigue, et sans savoir de quoi le roman parlait – puisque le résumé de la quatrième de couverture est très mystérieux – que j’ai décidé, près de 10 ans après, de me replonger pour la deuxième fois dans l’histoire de Vango.