Réunis dans leur résidence estivale de l’île d’Orléans, non loin de Québec, les Miller et leurs six enfants offrent l’image de l’harmonie et de l’aisance. La crise des années trente les a épargnés. Chez eux, le goût du bonheur l’emporte sur les conventions et les préjugés d’une société paroissiale et étouffante.
Comblée par un mari intelligent et sensuel, Gabrielle aspire a encore plus de liberté, prête à la révolte. Alors que la rumeur de la guerre enfle en Europe, s’annoncent des orages du cœur, des menaces, des trahisons, la maladie. Mais rien ne semble pouvoir briser le courage et l’énergie vitale des Miller.
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Je suis heureuse de vous retrouver avec ma première chronique depuis deux long mois. Histoire de revenir dans la bonne humeur, j’ai choisi de vous parler de mon dernier coup de cœur, Gabrielle, de Marie Laberge. J’ai découvert cette trilogie grâce à Margaud liseuse, que j’ai entendu parler de la série avec enthousiasme des dizaines de fois.
Totalement par hasard, j’ai commencé Le Goût du bonheur quand mon copain et mon frère sont partis en vacances au Québec. J’aurais adoré visualiser les paysages pendant ma lecture ! Je pense que connaître la région aide à entrer plus rapidement dans le roman.